le mode d'édition des auteurs belges indépendants
Avec une couverture « vintage » qui rappelle les romans policiers (ou mieux : les détectives) des années cinquante, Alain Magerotte annonce la couleur : on ne va pas faire dans la dentelle. Du noir tout azimut. Du noir, soit ; des crimes, oui ; des calibres pointés, évidemment ! Mais des morts qui vont se relever et saluer à la fin de la farce, des meurtriers, des limiers, des victimes : un univers chuintant et bourdonnant de ces « Drôles d'oiseaux » qui ont trouvé leur auteur
Zorro, un beau matou, un vrai rouquin, un tigré tatoué, s'est esbigné en cat-imini, et Mme Lecloac en fait un nervous breakdown. Qu'est-il arrivé à Zorro ? Pour tout vous expliquer, it's raining cats and dogs, fellows. Comment dites-vous ? Franglais ? Of course, mais avec humour !
Aborder un libraire avec un bas nylon sur la tête et un 7,65 dans la paluche, ce n'est pas donné à tout le monde. C'est aussi très dangereux si on a la gâchette facile. Kidnapper en plus deux policiers dans la même librairie, relève de la gageure, et y ajouter des ambulanciers en otages, de l'exploit herculéen. Mais à quoi bon avoir une main de fer, lorsqu'on a un cœur de velours ? Cela ne mérite-t-il pas un pacson de Circonstances atténuantes ?
Elle s'appelait Pénélope, et il l'avait chipée à son meilleur copain, ce Cher vieux pirate. Il avait bien mené sa barque, jusque-là, louvoyant entre Charybde et Scylla, répondant au chant des Sirènes, mais le vent tourne. Un méchant coup de tabac pointe à l'horizon lorsque la douce Pénélope vient se blottir dans les ailes de son ex, pour échapper aux vicissitudes de son capitaine de galère. De quoi attraper un harpon et partir à la chasse au requin, pas vrai ?
Benoît Barmont n'est pas à proprement parler une épée dans le journalisme. Entre un article bouillant sur le Mundial de la capture du grillon, nouveau sport planétaire, et le rêve d'accéder au Walhalla de l'envoyé spécial tirant cinq colonnes à la une, il attend le véritable Scoop. Et lorsque son copain d'Amérique l'invite au Texas pour quelques jours de détente (de Colt 45), il ne sait pas qu'on est le 22 décembre 1963, près de midi, et que le scoop du siècle lui passe juste, mais alors tout juste, sous le nez.
La littérature épistolaire a toujours été chez Alain Magerotte une source de trouvailles délirantes. Après Correspondances, voici un échange pour le moins savoureux entre personnes dont on présume l'accent particulièrement typé. Le docteur Illabondo prodigue à sa pratique force bagues et colliers magiques, aux vertus prétendues lénifiantes. Les uns y trouvent la félicité, d'autres plongent dans la douleur et la dèche profondes. De quoi prendre la plume et ramener le bon docteur à des réalités contondantes. La qualité humoristique de cette correspondance plonge le lecteur dans un fou-rire inextinguible. Il a vraiment bon dos, ce docteur.
Drôle d'oiseau que ce croque-mort au bonnet d'âne, inculte à ne plus pouvoir, ignare au point de ne pas savoir reconnaître une hyperbate dans les lettres anonymes qu'il envoie ! Il faut être inspecteur de police et fin romaniste pour retrouver dénicher leur auteur dans le janotisme de l'une d'elles. À propos, vous savez, vous, ce que sont janotisme et hyperbate ? Du dico sans délai tu liras dans les pages l'explication.
Je dois avouer que je n'ai pas accroché à Carton rouge pour un tueur. Bien que résolument écrit et composé d'une manière conforme au style fougueux d'Alain Magerotte, je ne suis pas parvenu à entrer dans le jeu. Sans doute une aversion épidermique pour le football, une espèce de blocage préconçu, maxima culpa mea. Toujours est-il que l'intrigue policière, les noms propres délirants et les situations cocasses ne m
Par contre, Le pont des derniers soupirs est un petit bijou de fantaisie et d'imagination. On se croirait dans un récit d'Agatha Christie réécrit par San Antonio. Ici, on retrouve le style et la verve de l'auteur dans toute leur acception : un pont, un village, des villageois, un policier. À partir de là démarre une aventure piquetée d'humour et de trouvailles. Un ballotin de pralines à déguster un soir de spleen.
Revoyez les pages roses de votre Larousse avant d'entamer Fluctuat nec mergitur, les gars ! Voici encore un coup du latiniste Magerotte ! Avec Hélène, Ulysse et autres issus d'aède (ndlr issudaède : héros quadrangulaire à trois dents dérivant de la cosmogonie grecque) Virgile et Horace vous font revisiter sans vergogne votre culture latine et vos souvenirs de potache. Non-romanistes invertébrés s'abstenir, merci. Ave, Alanus, lectori te salutant.
Pour L'enveloppe bleue, nous revenons dans une atmosphère glauque, à la Jean Ray, mais toujours saupoudrée de cet humour typique. Tordre le cou à un poulet, un geste professionnel d'abatteur de volaille, à ne pas confondre avec tueur de poulaille... C'est sur cette ambiguïté que le récit prend son envol. Il fallait encore une madame Irma, spécialiste de la gallinomancie (la divination par les poulets, comme de bien entendu).
Abdelkader, Ahmed, Ali, qui vous voudrez, dont le prénom commence par A et qui vole dans les grandes rues de la grande ville du petit pays d'accueil. Vous voyez qui on veut dire ? La solitude du coureur de fonds n'est ni un manifeste du FN ni un réquisitoire fumeux d'avocat facho sur les vilains bronzés. C'est tout le contraire, si on lit entre les lignes, et même dessus. Si A, c'est un coureur de fonds, un arracheur de sacs de vieille dame, c'est aussi un coureur tout court, un type qui cavale, quoi. Quand on a tout ce qu'il faut pour perdre, c'est pas facile de gagner, pas vrai ?
D'autres récits encore, qu'il est bon de découvrir : Cherchez la fan, Le miroir aux alouettes.
Le recueil s'achève sur une innovation : une nouvelle en deux tentatives : Une nuit bien trop noire. Dans la bonne tradition du polar américain style Peter Cheney (voyez Callaghan et La môme vert de gris) mitonné par un Alain Magerotte en pleine forme, doté d'une imagination hors concours. Juste, pour le plaisir, deux noms farfelus : le commissaire Paul Isse et Gilles Debinche qui a horreur du Carnaval. Quand on vous parle de délire...
L'écriture vive et ludique d'Alain Magerotte ne s'écarte jamais de son style fondamental : le choix du mot juste, la syntaxe parfaite, la peinture précise de personnages crédibles et les situations triviales dérivant vers l'absurdité du quotidien. Comme si votre rituelle tartine du petit déjeuner vous sautait tout à coup au visage... côté beurre, of course !
Georges ROLAND
La lecture d’un livre est souvent conditionnée par l’info préalable qu’on en a reçue. Tantôt il s’agit d’un article favorable dans un magazine, tantôt de la notoriété de l’auteur, tantôt de la connaissance que l’on a d’autres de ses textes. On aborde donc cette lecture avec une idée préconçue, cataloguant rationnellement l’auteur dans son univers d’écriture.
C’est exactement ce qui s’est passé lorsque j’ai entamé « Zones d’ombre » d’Alain Magerotte, dont je lis tous les recueils. Je m’attendais à des nouvelles débridées, peuplées de personnages tellement coutumiers qu’on a l’impression de les avoir côtoyé sur le bus en revenant du boulot. Des aventures policières ou fantastiques enrobées d’un humour caustique et suave à la fois, épicées d’un style à l’américaine (Peter Cheney et Eddie Constantine ne sont pas loin) où les rebondissements s’entrechoquent comme sur les autos tamponneuses (ou les pugilistes) de la foire du Midi.
Et puis, dans ce qui me semblait être des nouvelles bien dans la ligne d’Alain, voici qu’apparaît un style plus mûr, une approche résolument achevée des sujets. Bien sûr, on retrouve les ingrédients initiaux que l’on espérait, l’humour est toujours latent ou à fleur de phrases, mais il y a un plus : l’écriture. Persillée de sous-entendus, d’allusions, de références et plus proche encore de la pensée créative surréaliste belge. On n’est pas loin des textes de Jean Ray, et Harry Dickson tambourine à la porte de bout en bout, même si The Devil in Disguise (entendez : le diable déguisé, référence à une chanson d’Elvis Presley) passe en sourdine au transistor.
L’auteur, professionnellement muri dans le style et la perception de ses personnages, a dès à présent largement dépassé le stade de l’amateur.
— Paranoïa est une fleur exotique à l’arôme pénétrant et envoûtant comme un poème de Baudelaire.
— Des tics et des T.O.C.S. Vous pousse à l’introspection, un peu comme lorsqu’on lit les symptômes d’une maladie dans un traité de médecine.
— Beauf’Blues tinte à l’oreille comme une rengaine mille fois entendue, et qui pourtant vous interroge dans le miroir : Suis-je, moi aussi, comme ça ?
— Dans Tu es le diable déguisé, c’est la dualité de l’être qui nous emporte dans un onirisme débridé.
— Association étrange. Ou comment les objets influent sur notre quotidien.
— Avec La maison, on en revient à la nostalgie, au charme désuet de l’enfance rurale. Pratiquement un réquisitoire contre les méandres douteux de la société moderne.
— La cave nous rapproche plus encore de l’atmosphère de Jean Ray. L’aspect surréaliste du rêve et surtout, de son dénouement, rappelle les dédales de Malpertuis.
— Que se passe-t-il ? On ne quitte pas l’onirisme dans cette ode à la prédestination, parsemée d’ironie larvée.
— Finalement… Sans doute la plus caustique. Celle qui interpelle, même (ou surtout?) par sa brièveté.
— Bestiaire Un exercice de style parfois périlleux, dont l'auteur se sort avec panache. Le récit, parsemé à satiété de noms d'oiseaux et autres mammifères, regorge d'un humour grinçant, dont Alain Magerotte se sert avec une si belle ardeur.
— Demain… peut-être ! Ponctuée par des interventions ironiques de l’auteur, et présentée comme un film muet dans lequel on insère des cartons explicatifs, cette nouvelle mène le lecteur vers une fin qui engendre la… faim de retrouver cet auteur remarquable qu’est devenu Alain Magerotte.
Georges ROLAND
Les thèmes abordés dans ce recueil de nouvelles sont absolument bien pensés. On découvre au fil des pages toutes les inquiétudes, les peurs qui nous poussent à agir malgré nous. Onze (fameux nombre premier!) histoires de notre quotidien...mais pas n'importe lequel.
Il pousse la psyché humaine à son paroxysme, voilà pourquoi l'auteur est à découvrir. A l'instar des romans noirs américains, son univers possède lui aussi toutes les ficelles pour nous transporter loin dans les abîmes d'une certaine déréliction contrôlée.
Zones d'ombre d'Alain Magerotte est clairement à mettre en lumière.
(signé): Gaëtan Faucer
Douze Nouvelles nouvelles d'Alain Magerotte plus incroyables que jamais. On les apprécie certes pour la qualité, mais également,
et surtout !, car elles résonnent en nous . Fantastiques, dans tous les sens du terme, ces récits nous font basculer dans un univers non loin de notre quotidien...sans doute la raison pour laquelle, chaque histoire
ressemble
à quelque chose ou à quelqu'un que nous connaissons.
« Contes
noirs pour nuits blanches » est un recueil à lire d'une traite ou en douze jours, c'est selon. Un nouvelle par jour ou douze nouvelles
en un jour, le plaisir reste identique.
Bref, vous l'aurez compris, à lire le plus vite possible !
Fiche de lecture de Gaëtan Faucer 28/02/2018
Et, en sous-titre : roman policier déjanté. Déjanté, certes, ou excentrique, expression qui convient tout aussi bien à cette histoire d’étrangleur qui s’écarte de façon originale de la ligne de narration convenue du genre policier.
L’auteur y va de sa fantaisie, interrompant sa narration pour s’adresser au lecteur, lui faisant entendre que s’il ne s’amuse pas et peut fermer son livre, lui, l’auteur
prend plaisir à introduire dans son puzzle un nombre important de personnages trimbalant leur passé dans les méandres de la réalité.
Il s’adresse également à ses personnages principaux, les deux
limiers, Nick Bogoss beau et niais et Jodie, belle et finaude avec lesquels il entretient une connivence. A eux revient la tâche de découvrir l’étrangleur. Un bizarre, cet étrangleur. Il procède à l’élimination
de ses victimes, toutes des femmes, avec une technique très personnelle.
Un puzzle, quelle que soit sa complication, contient néanmoins une logique qui conduit à la reconstitution éclairante des faits. Et l’étrangleur
sera découvert. Même si un concours de situations a favorisé quelque peu ce triomphe, il est dû avant tout à la persévérance des deux limiers et au flair de la belle, les deux soutenus par l’auteur.
C’est un roman adroitement charpenté. Tant de situations, tant de personnages .. ! Il faut agencer tout ça en permettant au lecteur de ne pas perdre le fil. C’est réussi et, en cours de route, l’auteur a semé ci
et là des remarques critiques, satiriques sur la société dans laquelle évoluent les personnages, et a pimenté son parcours d’un humour dont il est coutumier, le tout dans un style à la fois simple, direct et
percutant selon les situations.
Barbara Y.Flamand
Décidément, Alain Magerotte se rapproche avantageusement des grands conteurs fantastiques belges, tant par le style que par la construction de ses récits.
Petit bijou d'humour noir que ce recueil de contes à lire de préférence la nuit. Récits tantôt brefs, percutants, vous assénant en l'espace de quelques pages, un uppercut fulgurant d'ironie et de dérision, tantôt s'étirant en humour cinglant, mais toujours empreints de cette ambiance typique de l'auteur qui met en scène des personnages tellement proches de notre quotidien avec une aisance redoutable...
ISBN 978-2-930738-49-9 - format 12,5 x 20,5 cm - 238 pages - 12,00€
Disponible sur www.labibliotheque.be et www.amazon.fr
De mère bruxelloise (née de parents flamands) et de père ardennais, Alain Magerotte est belge et nouvelliste.
C'est à l'adolescence qu'il s'éveille à la littérature fantastique mais ce n'est que beaucoup plus tard qu'il s'initiera au plaisir de l'écriture.
Alain Magerotte se plaît à cultiver les paradoxes. D'un naturel bon vivant, cet optimiste invétéré aime les ambiances sombres et les vieux cimetières sous la pluie.
Si l'imaginaire fantastique a longtemps produit des vampires, des monstres et des bruits inquiétants... chez Alain Magerotte, pas d'êtres effrayants ni de bruits alarmants, sauf dans les nouvelles parodiques. Le fantastique prend sa source dans le psychisme même des protagonistes, leurs phantasmes, leurs désirs refoulés...
Un roman policier déjanté
Du farfelu à l'absurde en passant par le déjanté, ironiquement présentée dans un emballage barré à souhait, l'aventure étasunienne d'Alain Magerotte plonge le lecteur dans une interrogation quasi métaphysique : il est barge ? Il fume la moquette ? Il a viré bredin ?
Puis à la lecture, on découvre un roman bien ficelé, persillé de dérision clairvoyante sur un univers qui dérape, où les petites choses de la vie prennent des proportions inattendues.
Les anti-superhéros font la nique aux détectives des romans américains par leur vérité inconfortable. Une belle recherche aussi, dans le choix des noms propres : Nick Bogoss est… beau mais simplet, Hubert Delamaquée est belge (un Liégeois pur jus, qui l'eût cru? L'eusses-tu ? Cru ?) Meg Keskesay, Brouss Willy et une kyrielle de blases plus incroyables les uns que les autres.
Un roman à recommander aux dépressifs de tout acabit.
ISBN 978-2-930738-13-0 - format 12,5 x 20,5 cm - 238 pages - 15,00€
Disponible dès à présent sur www.labibliotheque.be et www.amazon.fr
Vous trouvez ici la fiche de lecture signée Barbara Flamand
Ce passionné de littérature fantastique et policière, ainsi que de cinéma des mêmes genres, a fini par se lancer, durant le printemps 1997, dans l'écriture de Nouvelles. Ses récits mettent en scène des personnages dont la vie bascule à la suite d'un événement souvent incontrôlable. Des destins tragiques dans un monde qui ne tourne plus très rond. Le tout est saupoudré d'un humour noir. Ne riez pas trop cependant, car ce qui arrive aux personnages d'Alain Magerotte pourrait un jour faire partie de votre quotidien.
contact: alain.magerotte@bernardiennes.be
16 Nouvelles à déguster sans appréhension!
Quoique...
Quand l'étau se resserre sur un héritier trop pressé... Quand l'étau se resserre sur un psychopathe traqué... Quand l'étau se resserre sur une victime désignée... Quand l'étau se resserre sur un tueur professionnel planqué... Quand l'étau se resserre sur un mari trompé... ... Quand l'étau se resserre... à vous couper le souffle!
ISBN 978-2930738093 - format 12,5 x 20cm - 248 pp. - Prix : 15,00€
Disponible dès à présent sur amazon.fr et sur labibliothèque.be
Des nouvelles très abouties
Des nouvelles dotées d’un style mûr, une approche résolument achevée des sujets. Bien sûr, on retrouve les ingrédients initiaux que l’on attendait chez cet auteur : l’humour est toujours latent ou à fleur de phrases, mais il y a un plus : l’écriture. Persillée de sous-entendus, d’allusions, de références et plus proche encore de la pensée créative surréaliste belge. On n’est pas loin des textes de Jean Ray, et Harry Dickson tambourine à la porte de bout en bout, même si The Devil in Disguise (entendez : le diable déguisé, référence à une chanson d’Elvis Presley) passe en sourdine au transistor.
COMMANDER
ISBN 978-2-930738-00-0
format 12,5 x 20cm 166 pp.
Prix : 12,00€
Les livres sont accessibles :
- en librairie par n°ISBN
alain.magerotte@bernardiennes.be
- sur amazon.fr en livre papier et électronique.
15 nouvelles burlesques policières
Le monde est devenu dingo ! Parfaitement !...
Tu trouves normal que personne ne bronche face à un calibre 7,65 bien calé dans la pogne ?...
Tu trouves normal que des mecs se jettent sans raison du haut d'un pont ?...
Tu trouves normal que les poulets fassent appel à Madame Irma ?...
Tu trouves normal qu'une enquête piétine par manque de pub ?... Tu te demandes, hein ?...
Et c'est normal...
Te bile pas, tu trouveras les réponses à ces questions, et à plein d'autres, dans ce bouquin.
COMMANDER
ISBN 978-2-930738-02-4
format 12,5 x 20cm 260 pp.
Prix : 15,00€
Les livres sont accessibles :
- dans toute librairie par n°ISBN
alain.magerotte@bernardiennes.be
- sur amazon.fr en livre papier et électronique.
Michel
24.11.2017 16:17
Voici encore un roman qui pourrait bénéficier d'une excellente promotion dans LE BIBLIOTHECAIRE
Georges Roland
27.11.2017 09:50
Bonjour Michel,
Nous ne manquerons pas de vous faire parvenir les infos sur nos parutions
Derniers commentaires
09.03 | 11:28
Bonjour,
En janvier 2020, le Conseil d'Administration a décidé de fermer les publications et les réceptions de manuscrits.
Nous ne pouvons donc pas vous aider.
03.03 | 15:17
Bonjour, Je souhaiterais vous proposer une nouvelle. Je lis beaucoup mes amis belges et français qui sont chez vous. Merci à vous. Cordialement.
22.01 | 16:30
La petite grenouille de La Réconciliation, déjà pleine de sensibilité, trouve ici encore le profond message d'un enfant arraché à sa patrie de cœur. Bravo à l'auteur, pour ce rendu.
04.10 | 00:42
Toutes ces pages qui te concernent suscitent l'intérêt. Je crois que celui-ci se manifestera.
Amitiés.
Barbara